Plagiat ou l’Usurpatrice (rsylvie)
Ca fait huit jours exactement que je planche sur le sujet, en attendant l’idée. La petite lumière qui va jaillir de ma tête. Mais rien, pas même un échantillon de commencement… rien ! Alors, curieuse du travail des autres, j’ai consulté PAROLES PLURIELLES plusieurs fois. Et là, quelle surprise… un «retour aux sources», des textes, des histoires, des contes. Tous, plus réussis les uns que les autres… une véritable « invitation au voyage ».
Il y en avait pour tous les goûts :
«le vrai naïf», une mission de sauveur de l'humanité à Darfour après un «retour sur mon île», un policier Miro qui «¨Planque dans le Viel Antibes», du dramatique avec le «Prisonnier», du cynique, du farfelu qui pète « les plombs», de l’histoire avec un grand H dans »adoption», du surnaturel au «mauvais sang», un grand écrivain faussement appelé GOOGLE, des objets qui s’animent, des chats qui parlent …un «Trésor caché à force de Persévérance» et même de « l’invention ».
Vous pouvez me croire. Tout y était habilement conté… De la mystérieuse « veuve Couderc» en passant par l’inévitable logique du «Bon sang ne peut mentir», de la quête de «La maison d’Odiakis», une «Propriété privée», une «maison vide» dont tous les objets avaient une âme… jusqu’au «trompe l’œil» en double, à l’«illusion d'optique» et aux reflets dans «le Miroir», voire les "Bleu, bleu, bleu le ciel est bleu"… Le tout dit avec l’humour et le cynisme de la coquine «Dame en lumière bleue»… Même «Retour vers le futur» avait été cité.
Je vous l’assure tout avait été dit. Les volets repeints en « bleu», d’un « bleu couleur souvenir », la cible, la rue tranquille dans un village tranquille, quelque part où il fait bon vivre… mais «passons» et «vive les mariés» ! Je m’égare et «Chez-moi» le temps court.
Je n’avais plus que «Huit jours pour une vie»... à espérer que le brouillard se dissipe. «Pour le regard de Lilou» ou de «BENEDICTE». Qu’une nouvelle idée explose avant la date fatidique de la copie blanche. J’attendais que l’inspiration se manifeste, pour vous dire que «Maman est morte», vous conter l’amour fou de «Jeanne et Marie», vous parler d’ «Une maison, une âme». Vous savez ? cette maison au «Parfum d’aube» où il se passe quelque chose de secret comme un «poison»… que personne ne connaît… même pas moi.
Et, surtout pas moi !
Je suis «touchée»«dans le mille» ! Ha ! je suis démasquée... J’ai copié-collé !