4 décembre 2007
17. Très non chère Mathilde (pensée futile)
Si vous saviez
Comme j'ai envie de vous étriper
J'aimerais vous le dire
J'ai tant envie de vous anéantir
Vous vous avez de la chance
Vous vous l'êtes approprié avec aisance
il est si joli
il a été l'homme de ma vie
Vous l'avez pris
sans dire merci
Je n'embrasse pas votre visage empoisonné
En espèrant ne jamais vous revoir
Signé votre ennemie à jamais
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S
M
I
P
A